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mardi 15 mars 2011

A Proposal where (almost) everybody wins / Une proposition qui plairera à (presque) tout le monde

A Proposal where (almost) everybody wins

Over the past few weeks, world leaders have attended a variety of meetings without arriving at a decision. Earlier, despite the catastrophe in Japan, the G8 met in Paris, and did not come up with a course of action. The Arab League has pronounced their agreement with a no-fly zone. Obama talks about “tightening the noose” around Qadhafi's neck. And yet, the army loyal to the “Guide” have retaken a string of towns, Ras Lanuf, Zawiya, Brega and now Ajdabiya. Things look bad for the Libyan rebels, in spite of their courage.

Almost everyone, with the possible exception of Hugo Chavez and some Libyans, agrees that Qadhafi poses a threat and that without help, Libya will either descend into an intractable civil war, or Qadhafi's forces will retake Benghazi and brutally repress the resisters. While certain hawks are beating the drum for war, Secretary Gates and General Wesley Clark prefer to proceed with caution, pointing to past difficulties with similar missions.

So, something must be done, but perhaps, for once, America shouldn't do it? This proposal centers firmly on NATO's neglected member; Turkey.

  • Turkey has a well-trained, well-equipped and experienced airforce
  • Turkey has few enemies (other than tensions with Armenia and Azerbaijan) and is popular
  • In a Middle East political landscape largely divided on sectarian line, with the two poles at Saudi Arabia and Iran, Turkey is not irrevocably aligned with either faction
  • However, since Turkey is majority Muslim, a Turkish-led intervention doesn't play into the jihadist narrative of Western infidel powers picking on Muslims
  • Prestige is important to Turks, whose feathers have been ruffled by
    • Being rebuffed when trying, with Brazil, to diffuse tensions with Iran
    • The Mavi Marmara fiasco
    • Lack of progress with EU adhesion, despite undertaking reforms
  • Turkey is not geographically far from Libya

Under this framework, NATO overall, or selected nations, or a UN force could provide tactical support and funds. This should not be too difficult, as long as a clear objective is defined. It is a mistake to enter into a conflict without a clear objective, and thus a clear point at which the conflict can be declared finished and forces leave definitively.


Une proposition qui plairera à (presque) tout le monde
Au cours des dernieres semaines, les dirigeants mondiaux se reunissaient plusieurs fois sans arriver à se mettre d'accord sur un politique commun envers la Libye. Nonobstant le catastrophe au Japon, le groupe G8 s'est réuni à Paris, mais ne décide rien. La Ligue Arabe se prononce en faveur d'une zone d'exclusion aérienne, et Obama parle de serrer le corde au cou de Kadhafi. Malgré tous ces prononcements, les forces fidèles au “Guide” enchaînent des victoires sur la côte libyenne, de Ras Lanouf à Zaouia, Bregua, et finalement Ajdabiya. Le bilan des forces rebelles n'est pas encourageant, malgré le courage du peuple Libyen.

Exceptés Hugo Chavez et quelques Tipolitains effrayés, les pouvoirs mondiaux s'entendent sure le fait que les actions de Kadhafi posent problème, et sans intervenir, le pays descendera soit en guerre civile sans fin, soit que Kadhafi reprendera Benghazi et reprimera brutalement la population. Certains hommes poltiques américains demandent haut et fort de préparer la guerre, mais le Ministre de la Défense Gates et le Général Wesley Clark conseillent plutôt le prudence, citant des cas similaires qui ont échoué.

Alors, il faut bien faire quelque chose, mais peut-être cette fois-ci, pas avec l'Amerique en tête? Cette propostion se focalise sur le mebre négligé de l'OTAN ; la Turquie.

  • L'armée de l'aire turque est bien équipée, bien entrainée et discipliné
  • La Turquie a de bonnes relation extérieures (sauf des tensions avescl'Arménie et le Azerbaïdjan) et jouit d'une bonne opinion internationale
  • Dans un Moyen Orient divisé par des clivages sectaires, s'opposant l'Arabie saoudite à l'Iran, la Turquie n'a pas définitivement choisi son camp
  • Cependant, étant de majorité musulmane, une intervention de la Turquie ne suit pas la logique djihaiste de domination des musulmans par les pouvoirs occidentaux
  • Estimant comme très important le prestige, les turques sont bien froissés de
    • avoir été repoussé quant à leur démarche avec le Brésil envers l'Iran
    • le debacle du Mavi Marmara
    • le manque d'avancement dans les négociations pour rejoindre l'Union Européenne
  • La proximité géographique de la Turquie par rapport à la Libye

Dans ce cadre, il serait possible que l'OTAN, ou certains pays occidentaux,ou l'ONU puissent fournier des aides tactiques ou finacières. Cela ne doit pas être trop difficile, une fois un objectif défini. Sans objectif, dès le début, une intervention risque de ne pas avoir de fin évidente, laissant s'enliser les intervenants.





1 commentaire:

KuuntyMcGrew a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.